
Une adaptation très attendue
La nouvelle production cinématographique intitulée Afterburn s’apprête à faire son entrée dans les salles obscures le 19 septembre 2025 aux US. Ce film puise son inspiration dans une bande dessinée qui dépeint un monde dévasté par une tempête solaire. Le scénario explore les conséquences d’une disparition soudaine de l’électricité à l’échelle planétaire, mêlant des éléments d’aventure pulp à une problématique contemporaine.

Un casting de renom
Pour donner vie à cet univers post-apocalyptique, la réalisation a réuni un ensemble d’acteurs reconnus. Dave Bautista, Olga Kurylenko, Kristofer Hivju et Samuel L. Jackson composent le quatuor principal de ce projet. La direction est assurée par J.J. Perry, un réalisateur dont l’expérience dans les scènes d’action, notamment sur des productions comme Turno de día , laisse présager une approche dynamique et physique du récit.
Un univers post-apocalyptique revisité
Le concept central d’ Afterburn repose sur l’idée d’un monde revenu à un état pré-industriel suite à un événement cataclysmique. La tempête solaire, telle qu’imaginée dans la bande dessinée originale, sert de catalyseur à cette transformation radicale. Le film promet d’explorer les défis de survie et les dynamiques sociales qui émergent dans un tel contexte, où la technologie telle que nous la connaissons n’est plus qu’un lointain souvenir.
L’absence d’électricité impose aux survivants de retrouver des méthodes ancestrales pour communiquer, se déplacer et se protéger. La narration devrait ainsi mettre en lumière l’ingéniosité humaine face à l’adversité, ainsi que les potentiels conflits qui naissent lorsque les ressources se font rares. La dimension visuelle du film, axée sur un environnement dévasté, devrait contribuer à immerger le spectateur dans cette atmosphère singulière.

La perspective du réalisateur
J.J. Perry, fort de son expérience en tant que coordinateur de cascades et réalisateur de séquences d’action, aborde ce projet avec une volonté de privilégier l’action physique. Son travail précédent a montré une capacité à orchestrer des scènes percutantes, et il est probable qu’ Afterburn bénéficie de cette expertise pour proposer des moments intenses et spectaculaires. L’accent mis sur l’action physique pourrait offrir une alternative aux productions qui s’appuient davantage sur les effets spéciaux numériques.
La transition de Perry de spécialiste de l’action à réalisateur principal suggère une vision claire pour le film, potentiellement centrée sur le mouvement et l’impact visuel des combats et des poursuites. L’adaptation d’une bande dessinée offre un terrain fertile pour ce type d’approche, permettant de transposer des séquences dynamiques directement à l’écran.

Le moment semble bien choisi pour Afterburn. Le cinéma de comics est en pleine mutation : les publics attendent aujourd’hui plus que des super-héros en costume, ils veulent des histoires qui osent, des univers visuellement forts, des personnages ambivalents. Adapter une bande dessinée moins connue – plutôt qu’un blockbuster hyper médiatisé – donne plus de liberté dans la mise en scène, moins de contraintes quant à ce qu’il faut “plaire à tout prix”. En outre, le sujet touche à des peurs contemporaines — les catastrophes naturelles, la dépendance aux infrastructures technologique
Le film semble vouloir proposer une dans un univers où les codes de la civilisation moderne sont bouleversés, le tout porté par une distribution solide et une réalisation orientée vers l’action.
Bande annonce
Source : https://www.abandomoviez.net/noticia.php?film=44394

